Cet article est le septième épisode de notre série sur le modèle NOVA, détaillant l'aventure de MediaPulse dans sa transformation data-driven.
Bureau de direction de MediaPulse, 9 mois après l'implémentation initiale du projet NOVA. La grande table ovale est entourée par l'équipe de direction. Une odeur de café fraîchement préparé flotte dans l'air. Des graphiques projetés sur le mur montrent des courbes ascendantes.
François : Avant de passer aux chiffres du trimestre, j'aimerais faire un point sur le projet NOVA. Sylvie, tu as sollicité ce temps de parole pour revenir sur certains aspects.
Sylvie : Exactement. Cela fait maintenant 9 mois que nous avons déployé NOVA pour unifier nos données. Je dois reconnaître que les promesses techniques ont été largement tenues. Notre infrastructure data est robuste, mais je ressens un décalage entre ce que nous avons construit et ce que mes équipes commerciales peuvent en tirer au quotidien.
Rémy : Je ne comprends pas. Les KPIs techniques sont au vert, le data lake fonctionne parfaitement, la CDP est alimentée en temps réel. Qu'est-ce qui manque?
Sylvie : Ce qui manque, c'est que mes équipes n'arrivent pas à traduire ces merveilles techniques en actions commerciales concrètes. Nous avons une Ferrari mais nous n'avons pas le permis pour la conduire.
La tension est palpable dans la salle. Marie hoche la tête en signe d'approbation.
Marie : Je rejoins Sylvie. Côté relation client, nous avons maintenant accès à une mine d'informations, mais mes équipes sont submergées. Elles ne savent pas comment prioriser ces données pour améliorer l'expérience client.
François : Rémy, comment expliques-tu cet écart?
Rémy : Nous avons concentré nos efforts sur la mise en place de l'infrastructure. Peut-être avons-nous négligé l'accompagnement des métiers dans l'utilisation quotidienne de ces outils.
Karim : Si je peux me permettre, je pense que nous faisons face au "dernier kilomètre" de la transformation data-driven. L'infrastructure est là, mais nous n'avons pas suffisamment travaillé sur la traduction des données en opportunités business concrètes. D'ailleurs, une récente étude de Devoteam révèle que seulement 19% des organisations de la région EMEA sont des "Data Champions", tandis que 30% sont des "Data Beginners" et 51% des "Data Explorers". Nous sommes clairement dans cette catégorie intermédiaire - avec l'infrastructure mais pas encore la maturité d'usage.
Salle de réunion Horizon, 14h30. Les murs blancs sont recouverts de post-its colorés organisés en clusters thématiques. L'équipe projet NOVA, ainsi que quelques utilisateurs clés des différents départements, sont réunis pour un atelier de diagnostic.
Karim : Merci à tous d'être présents pour cet atelier. Suite à la réunion du comité exécutif, nous avons décidé de mener un diagnostic approfondi sur l'utilisation réelle de NOVA au quotidien. Jules, en tant qu'ambassadeur du projet, peux-tu nous partager ton ressenti?
Jules : J'observe trois problèmes majeurs. Premier point, la complexité des interfaces. L'outil est puissant mais trop compliqué pour un utilisateur occasionnel. Deuxième point, le manque de scénarios d'usage concrets. Les équipes ne savent pas par où commencer. Troisième point, l'absence de métriques business dans les tableaux de bord, qui sont trop orientés technique.
Karim note consciencieusement les remarques sur un tableau blanc. L'atmosphère est studieuse mais constructive.
Marie : Du côté relation client, nous passons plus de temps à chercher l'information qu'à l'utiliser. C'est comme avoir une bibliothèque immense sans catalogue.
Sylvie : Pour les commerciaux, le problème est différent. Ils voient bien le potentiel, mais n'arrivent pas à intégrer ces données dans leurs routines de travail. Nos processus de vente n'ont pas été repensés pour tirer parti de NOVA.
Thomas : Et n'oublions pas l'aspect conformité. Nous avons mis en place une infrastructure RGPD solide, mais les équipes terrain ont peur de mal l'utiliser et d'être en infraction.
Rémy : Je comprends ces frustrations. Nous avons construit les fondations, mais il manque visiblement les ponts entre la technique et le business.
Karim : C'est exactement ça! Nous avons créé un fossé entre la promesse technique et la réalité terrain. Il nous faut désormais combler ce fossé avec une approche centrée utilisateur. Et nous ne sommes pas seuls dans ce cas. Selon le baromètre METRADATA 2024, "la majorité des personnes interrogées ont indiqué que l'optimisation de la valeur des données était leur principal objectif", mais beaucoup échouent à concrétiser cette valeur. C'est exactement notre situation.
Bureau de Karim, le lendemain matin. La lumière matinale filtre à travers les stores à moitié ouverts. Des graphiques d'usage de la plateforme NOVA sont affichés sur son écran d'ordinateur, montrant des taux d'adoption très disparates selon les services.
Sylvie entre, tenant un rapport imprimé.
Sylvie : Tu as une minute? Je viens de recevoir les résultats de l'enquête de satisfaction des utilisateurs NOVA.
Karim : Bien sûr, entre. J'étais justement en train d'analyser les logs de connexion. Qu'est-ce que dit l'enquête?
Sylvie : 78% des utilisateurs reconnaissent le potentiel de NOVA, mais seulement 23% l'utilisent quotidiennement. Le principal frein cité est le manque d'adéquation avec leurs besoins métiers quotidiens.
Karim se lève soudainement, comme frappé par une révélation.
Karim : Je crois que j'ai compris notre erreur fondamentale. Nous avons construit NOVA avec une approche descendante, de la technique vers les usages. Nous devons renverser complètement cette logique!
Sylvie : C'est-à-dire?
Karim : Plutôt que de partir de la donnée et de voir comment l'utiliser, nous devons partir des besoins métiers et voir quelles données peuvent y répondre. C'est une révolution copernicienne dans notre approche!
Karim se dirige vers son tableau blanc et commence à dessiner un nouveau schéma.
Karim : Imagine NOVA non plus comme une plateforme technique mais comme un écosystème de solutions métiers, alimentées par la donnée. Chaque département aurait son interface dédiée, avec ses propres cas d'usage prioritaires.
Sylvie : Comme une collection d'applications business plutôt qu'une plateforme technique monolithique?
Karim : Exactement! Et le plus beau, c'est que techniquement, nous n'avons presque rien à changer. Notre infrastructure est solide, il s'agit maintenant de construire les interfaces métiers par-dessus. C'est ce que recommande le HUB Institute quand ils disent que "la data ne doit plus être une pratique, mais un mindset pour les entreprises. Elles ne doivent pas placer la data au centre, cette place est et doit être réservée au client".
Salle de conférence principale, deux jours plus tard. L'équipe de direction au complet est présente, ainsi que les ambassadeurs NOVA. Un nouveau schéma d'architecture centré utilisateur est projeté sur l'écran.
François : Karim, Rémy, vous nous avez convoqués pour présenter ce que vous appelez "NOVA 2.0". Je vous écoute.
Karim : Merci François. Notre diagnostic est clair: nous avons construit une infrastructure technique remarquable, mais nous avons négligé l'expérience utilisateur. Aujourd'hui, nous vous proposons un pivot stratégique dans notre approche.
Rémy prend la télécommande et fait défiler quelques slides.
Rémy : Concrètement, nous allons déployer ce que nous appelons des "Business Solutions Hubs". Ce sont des interfaces métiers qui s'appuient sur notre infrastructure NOVA mais qui sont entièrement pensées pour répondre aux besoins spécifiques de chaque département.
Il montre une maquette d'interface simple et intuitive.
Rémy : Par exemple, pour l'équipe commerciale, nous avons conçu un "Sales Activation Hub". Il propose trois fonctionnalités clés: détection automatique d'opportunités de cross-sell basée sur le comportement client, priorisation des leads selon leur score d'appétence, et suivi des parcours d'achat multi-canal.
Sylvie : C'est exactement ce dont mes équipes ont besoin! Et l'interface paraît beaucoup plus simple.
Karim : Pour la relation client, nous avons le "Customer Experience Hub", qui présente une vue 360° du client sans information superflue, des alertes précoces de risque de churn, et des suggestions personnalisées selon le profil.
Marie : Ça changerait complètement notre façon de travailler! Actuellement, nous devons naviguer entre cinq écrans différents pour avoir toutes ces informations.
Rémy : L'infrastructure technique reste la même. Nous ajoutons simplement une couche d'expérience utilisateur adaptée à chaque métier. Comme le souligne Opendatasoft, "en tant que Chief Data Officer (CDO) ou leader data, votre but est de rendre les données facilement accessibles en un point unique à tous dans l'organisation". C'est exactement ce que nous visons avec ces hubs.
Thomas : Et pour la conformité RGPD?
Karim : Nous avons prévu un "Compliance Hub" spécifique, qui simplifie drastiquement la gestion des consentements et des demandes d'accès ou de suppression.
François : Quel est le délai de déploiement pour cette évolution?
Rémy : Trois mois pour les premiers hubs, puis un déploiement progressif sur six mois au total.
François : L'investissement?
Karim : Relativement modeste comparé au projet initial. Nous réutilisons l'infrastructure existante. Le coût principal sera celui de la conception UX et du développement des interfaces. Et selon UXCam, 80% des personnes sont prêtes à payer plus cher pour une meilleure expérience utilisateur, ce qui justifie pleinement cet investissement.
François réfléchit un moment, observant les réactions positives autour de la table.
François : C'est approuvé. Cette approche semble répondre exactement aux frustrations exprimées. Mettez-la en œuvre dès que possible.
Trois semaines plus tard, dans l'open space réaménagé en "war room" du projet. Des écrans tactiles affichent les maquettes des différents hubs. L'ambiance est dynamique et collaborative.
Jules anime un atelier avec des représentants de l'équipe commerciale devant une maquette interactive du Sales Activation Hub.
Jules : Voyons si cette interface répond à vos besoins. Imaginons que vous arrivez le matin et que vous voulez savoir quels prospects contacter en priorité.
Alexandra (commerciale senior) : Je clique sur "Leads prioritaires", j'imagine?
Elle touche l'écran et une liste apparaît, classée par score d'appétence décroissant.
Alexandra : C'est incroyablement simple! Et je vois que pour chaque lead, j'ai accès à sa fiche détaillée, son historique d'interactions, et même des suggestions d'argumentaire personnalisé.
Jules : Exact. Et si tu cliques sur un lead, tu peux voir pourquoi il est prioritaire - ici, c'est parce qu'il a consulté trois fois la page tarifaire de l'offre premium cette semaine.
Alexandra : C'est précisément l'information dont j'ai besoin pour entamer la conversation! Actuellement, je dois deviner ce qui intéresse mes prospects.
De l'autre côté de la pièce, Marie travaille avec son équipe sur le Customer Experience Hub.
Marie : Le tableau de bord de synthèse client est parfait. J'apprécie particulièrement l'indicateur visuel qui montre immédiatement si le client est satisfait ou à risque.
Karim : Nous avons créé un "score d'engagement" qui combine plusieurs facteurs: fréquence d'utilisation, réponses aux enquêtes de satisfaction, interactions avec le support, etc. Les tendances BI 2024 identifiées par LinkedIn montrent que "la démocratisation des données et les outils BI en libre-service gagnent du terrain, permettant à tous les employés d'analyser les données indépendamment de leur expertise technique". C'est exactement ce que nous faisons ici.
Marie : Et je vois que nous avons des recommandations d'action personnalisées. Par exemple, pour ce client à risque, le système suggère une offre de renouvellement anticipé avec deux mois offerts.
Karim : Exactement. Ces recommandations sont générées automatiquement en fonction des patterns que nous avons identifiés comme efficaces pour réduire le churn.
Rémy observe les différents ateliers avec satisfaction.
Rémy : L'enthousiasme est palpable. Je n'ai jamais vu autant d'implication des métiers dans un projet technique.
Karim : C'est parce que nous avons inversé notre approche. Au lieu de leur demander de s'adapter à notre système, nous adaptons le système à leurs besoins.
Salle de formation, deux mois plus tard. Une vingtaine de collaborateurs assistent à une session de prise en main du Sales Activation Hub. L'atmosphère est détendue et studieuse.
Jules : Aujourd'hui, nous allons voir comment le Sales Activation Hub va transformer votre quotidien. Ce n'est pas un nouvel outil à apprendre, c'est un assistant qui va vous faire gagner du temps et augmenter votre efficacité.
Sur l'écran principal, il affiche l'interface du hub.
Jules : Première chose à noter: vous n'avez que trois onglets principaux - "Leads prioritaires", "Opportunités de cross-sell" et "Parcours clients". Chaque onglet répond à une question business précise.
Lucas (commercial junior) : C'est bien plus simple que ce que j'imaginais!
Jules : Et le mieux, c'est que vous n'avez plus besoin de passer d'un système à l'autre. Toutes les données dont vous avez besoin sont ici, présentées de manière actionnables.
Il fait une démonstration en direct, montrant comment identifier rapidement les leads les plus prometteurs et accéder à leur historique d'interactions.
Olivier (commercial senior) : Et les scores d'appétence, comment sont-ils calculés?
Jules : Excellente question. Le score combine plusieurs facteurs: comportement de navigation sur notre site, engagement avec nos emails, historique d'achat, similarité avec des profils de clients convertis... Mais vous n'avez pas besoin de comprendre l'algorithme pour l'utiliser efficacement.
Olivier : C'est la première fois qu'on nous explique la data de cette façon, en partant de nos besoins plutôt que de la technique.
Pendant ce temps, dans le bureau de François, Sylvie fait un point d'avancement.
Sylvie : Les premiers retours sont extrêmement positifs. Le taux d'adoption du Sales Activation Hub a atteint 86% en seulement deux semaines. Les commerciaux rapportent déjà une augmentation de leur efficacité.
François : Des résultats concrets sur les ventes?
Sylvie : Il est encore tôt, mais nous observons une augmentation de 12% du taux de conversion sur les leads prioritaires identifiés par le système. Et le temps moyen pour conclure une vente a diminué de 15%. Ces résultats sont cohérents avec une étude de cas de Quantspark qui montre qu'un modèle de scoring prédictif peut augmenter le taux de conversion de 20%.
François : Et les autres hubs?
Sylvie : Le Customer Experience Hub montre des résultats similaires. Marie m'a rapporté une baisse de 8% du taux de churn sur le segment à risque, simplement en appliquant les recommandations du système. Selon http://Strike.ai , l'implémentation d'un modèle prédictif peut réduire le taux de désabonnement jusqu'à 67%, donc nous sommes sur la bonne voie.
François : Et Rémy dans tout ça? Comment réagit la DSI à ce changement d'approche?
Sylvie : Étonnamment bien! Il dit que c'est gratifiant de voir les utilisateurs réellement adopter et apprécier la technologie qu'ils ont développée. L'équipe technique elle-même est plus motivée.
Terrasse panoramique de MediaPulse, 18h30, trois mois après le déploiement complet. Le soleil couchant baigne la scène d'une lumière dorée. L'équipe de direction et les ambassadeurs NOVA sont réunis pour célébrer les résultats.
François : Je tiens à tous vous féliciter pour cette transformation remarquable du projet NOVA. Les chiffres parlent d'eux-mêmes: augmentation de 23% du taux de conversion commercial, réduction de 18% du churn client, et - ce qui me réjouit particulièrement - un taux de satisfaction des utilisateurs internes de 92%.
Applaudissements dans l'assistance.
François : Rémy, Karim, vous avez su faire preuve d'humilité et d'agilité en remettant en question votre approche initiale. C'est rare et précieux.
Rémy : Ce pivot a été une leçon d'humilité pour l'équipe technique. Nous avons appris que la meilleure architecture du monde ne vaut rien si elle n'est pas adoptée par les utilisateurs.
Karim : Le vrai succès de NOVA 2.0 n'est pas technique mais humain. Nous avons créé des ponts entre la donnée et les métiers.
Sylvie : Ce qui me frappe, c'est la rapidité avec laquelle les équipes se sont approprié ces outils. C'est comme si elles n'attendaient que ça.
Marie : Exactement. Mes équipes relation client me disent qu'elles ne pourraient plus travailler comme avant. NOVA est devenu indispensable en à peine quelques mois.
Thomas : Et du côté conformité, nous avons réduit de 65% le temps de traitement des demandes RGPD. C'est considérable.
François : Et pour la suite?
Karim : Nous avons identifié trois axes d'évolution. Premièrement, l'intelligence artificielle pour affiner encore nos recommandations. Deuxièmement, l'intégration de données externes pour enrichir notre vision client. Troisièmement, des interfaces mobiles pour les équipes en déplacement. D'après les prévisions de Gartner citées par Opendatasoft, "d'ici 2028, les marchés de gestion des données convergeront en un seul marché d'écosystème de données, facilité par le data fabric et l'IA générative". Nous nous préparons à cette convergence.
Rémy : Mais cette fois, nous partirons des besoins métiers pour concevoir ces évolutions. La technique sera au service de l'usage, pas l'inverse.
François : Une dernière question: qu'est-ce qui a été, selon vous, le facteur clé de réussite de ce pivot?
Un moment de réflexion dans l'assistance. Chacun semble peser sa réponse.
Karim : Je dirais l'humilité. Accepter que notre approche initiale, bien que techniquement solide, n'était pas optimale du point de vue de l'expérience utilisateur.
Sylvie : Pour moi, c'est l'écoute. Vous avez vraiment pris le temps de comprendre nos frustrations et nos besoins réels.
Marie : La simplicité. Vous avez transformé une usine à gaz en outils simples et efficaces, qui répondent précisément à nos besoins quotidiens.
Rémy : Je retiendrai surtout la collaboration. Technique et métiers ont travaillé main dans la main, sans hiérarchie, avec un objectif commun.
François : Je suis d'accord avec tout cela. Et j'ajouterais la persévérance. Vous n'avez pas abandonné face aux difficultés, vous avez pivotée et trouvée des solutions.
Il lève son verre.
François : À NOVA 2.0, et à cette leçon essentielle: la data n'a de valeur que lorsqu'elle est traduite en actions concrètes et accessibles à tous!
Tous lèvent leurs verres dans un moment de célébration collective.
Bureau de Karim, le lendemain matin. Il rédige un email à destination de toutes les équipes.
Sur son écran, on peut lire:
"La véritable transformation data-driven ne réside pas dans la sophistication de la technologie, mais dans sa capacité à simplifier le quotidien des utilisateurs. NOVA nous a appris qu'il ne suffit pas de collecter et centraliser les données - il faut les rendre actionnables, accessibles et utiles à chaque niveau de l'organisation. Notre réussite ne se mesure pas en téraoctets stockés, mais en décisions éclairées prises chaque jour par chacun d'entre vous."
Il hésite un instant, puis ajoute une dernière phrase avant d'envoyer:
"En fin de compte, la magie n'opère pas dans le data lake, mais dans les moments où la donnée vous permet de mieux servir un client, de prévenir un départ, ou de saisir une opportunité. C'est là, et uniquement là, que réside la véritable valeur de NOVA. Et les chiffres le confirment: selon UXCam, chaque dollar investi dans l'expérience utilisateur génère un retour de 100 dollars. Notre pivot stratégique n'était pas seulement une question d'adoption, mais aussi un investissement hautement rentable pour l'avenir de MediaPulse."
Cet article fait partie de notre série sur la transformation par la donnée avec le modèle NOVA. Les équipes Lignan Consulting se sont librement inspirées de leurs expériences chez des clients pour proposer cette série qui nous plonge dans l'univers de la transformation Data des entreprises et vous proposent un nouvel épisode toutes les semaines au coeur des problématiques de MediaPulse qu'on retrouve dans de nombreuses entreprises et dans de nombreux secteurs. N'hésitez pas à nous partager ce que vous en avez pensé en commentant l'article dans la zone dédiée ci-dessous.
Seulement 19% des organisations EMEA sont des "Data Champions", 30% "Data Beginners", 51% "Data Explorers"
https://www.devoteam.com/fr/whitepaper/from-data-to-impact/
Les défis data et IA de 2025 : qualité, performance, intégration
https://keyrus.com/uk/en/insights/data-products-redefining-your-enterprise-strategy-in-2025
Les CDO doivent gérer plus de données, une complexité croissante et des budgets contraints
https://www.gartner.com/smarterwithgartner/4-steps-to-staff-the-office-of-the-cdo
Optimisation de la valeur des données, priorité pour la majorité des entreprises
https://www.data-bird.co/blog/maturite-data
69% des décideurs prévoient d’augmenter leur budget data
https://www.forrester.com/press-newsroom/forrester-planning-guides-2024/
Définition de la maturité data
https://www.data-bird.co/blog/maturite-data
La data comme mindset, pas comme centre
https://www.hubinstitute.com/hubtalk/data-experience-client
64,8% des entreprises ont amélioré leurs processus métiers grâce à la data
https://www.data-bird.co/blog/maturite-data
83% des consommateurs attendent une expérience utilisateur fluide
https://uxcam.com/blog/ux-design-best-practices/
Démocratisation de l’accès à la donnée via des portails
https://www.opendatasoft.com/en/blog/unlock-large-scale-value-by-opening-access-to-your-data-assets/
Suivi de la maturité data pour objectiver les progrès
https://www.linkedin.com/pulse/quantifying-growth-metrics-benchmarks-data-maturity-dama-uk-ltd-eqwbe
L’impact des dashboards métiers sur la prise de décision
https://www.uxpin.com/studio/blog/dashboard-design-principles/
Croissance du marché des dashboards BI (12,8 milliards $ d’ici 2033)
https://www.uxpin.com/studio/blog/dashboard-design-principles/
80% des personnes prêtes à payer plus pour une meilleure UX
https://uxcam.com/blog/ux-design-best-practices/
Démocratisation des outils BI en libre-service
https://www.uxpin.com/studio/blog/dashboard-design-principles/
+20% de conversion grâce au lead scoring prédictif
https://www.quantspark.com/case-studies/lead-scoring-predictive-model-price-comparison
Réduction du churn de 12% à 4% grâce à un modèle prédictif
https://thestrike.ai
50% des entreprises du G2000 adopteront une CDP d’ici 2024
https://cdp.com/basics/cdp-industry-statistics/
Le cross-selling peut augmenter le CA de 20% et la rentabilité de 30%
https://segment.com/growth-center/cross-selling/examples/
Marché des CDP à 2,4 milliards $ en 2024
https://www.statista.com/statistics/1293619/number-of-cdp-vendors-worldwide/
Convergence des marchés de gestion de données d’ici 2028 (data fabric et GenAI)
https://cdp.com/basics/cdp-industry-statistics/
ROI de l’UX : 1$ investi = 100$ de retour
https://uxcam.com/blog/ux-design-best-practices/
45,9% des organisations ont amélioré l’expérience client grâce à la data
https://www.data-bird.co/blog/maturite-data
Marché mondial des CDP estimé à 63,71 milliards $ d’ici 2031
https://cdp.com/basics/cdp-industry-statistics/
Accent sur la gouvernance des données dans les plateformes BI en 2025
https://www.linkedin.com/pulse/modernizing-your-data-governance-program-2025-ov9lf